Communauté Avatar de James Cameron, avec Forum Avatar pour Fan

École, encore et toujours, fait gris, il pleut, mange que du surgelé, les professeurs font pas cour, et se rhume qui n'en finis pas, embêtements et compagnie.

J'ai mettre la musique de mon réveil à fond pour me réveiller.
J'ai encore envie de dormir ToT.

Niveau sport, le tir à l'arc c'est bien passé, j'ai réussi à passer devant mon rival !

Sortie en mer par 30 knds = 60km/h de Mistral (faut pas croie la météo : 100km/h j'ai quasi jamais vu ca vraiment)
Ça crève mais qu'est-ce c'est bon !

C'est pas vraiment ca mais bon.
Quand je navigue avec mon frère (on fait beaucoup de compétition en équipage de deux),il nous arrive de faire des manoeuvres et des réglages de voile complexes, synchronisés et efficaces sans dire le moindre mot.
Je pense que ca tiens plus d'une très bonne connaissance de l'autre mais ca fait assez bizarre quand on le remarque.

Pas mal de nouvelles (rotte) faut encore attendre un peu Hae'resis et Neo'line mais c'est pas d'leur faute.

(se fais mordre pas mini Quaritch et lui donne du jambon)

Rak'tey cherche une femme
Jerald et Veressa sont'ils tous deux la même personne ?
Le site s'endort ?

Franchement, j'en sais rien !
En tout cas, l'intelo séjourne au bistro !

Deux saucisses sont dans un micro-onde, l'une d'elle dit : " hey tu trouves pas quil fait chaud ?"
L'autre crie : " AAAAAH une saucisse qui parle !!!!!!! "

kaltxi!pourais-tu changer mon pseudo en aketuan s'il te plait?

Pourquoi les oiseaux volent t-ils ?
Vous savez pas ?
Spoiler : Bah moi non plus

On a 4 poussins sur un mur, mais on en veut 3. Que fait-t'on?

Spoiler : On en pousse-un!

Huhu :P

Je voudrais.. Une photo de toi!!

Pourquoi les saucisses sont vendus par 10 et les petits pains par 8 ?

Spoiler : On sent fout, y en a assez pour faire un hot dog

Astérix et Obélix mission Cléopatre

Synopsis :

Numéros bis, architecte de métier à déjà du mal à finir le chantier le la maison de Malococcis, il se retrouve engagé par Cléopâtre, reine d'Egypte, pour prouver à César que le peuple égyptien est le plus grand de tous les peuples, elle confie à Numérobis un délais de trois mois, Amonbofils, architecte royal jaloux va s'efforcé de saboter les plans de Numérobis, celui ci vas en Gaule chercher de l'aide à l'amis de son père, Panoramix















Les ouvriers mécontent forcent Panoramix à distribuer de la potion magique, la construction avance très vite, Amonbofis jaloux fais apelle à Nexusis pour saboter l'arrivé en pierres du chantier, Obélix cassera le nez du sphinx, ils sortirons d'une piramyde, Amonbofis désespéré monte un complot avec César.

Un gâteau empoisonné à été livré, la reine ayant reçus se gâteau apparemment de Obélix, Astérix et Panoramix, complot encore échoué, César utilisera la force brute en assiègent le palais, Astérix arrivera chez Cléopâtre et l'avertira, toute menace écartée elle gagnera son paris et César y gagnera lui le plus beau de ses palais avec l'amour de Cléopâtre.

Informations du film :
3 nominations aux oscars.
- Oscar des meilleurs costumes
- Meilleur second rôle
- Meilleur décors

Acteurs :

Christian Clavier : Astérix
Gerard Depardieu : Obélix
Jamel Debbouze : Numérobis
Claude Rich : Panoramix
Monica Bellucci : Cléopâtre
Alain Chabat : Jules César
Gérard Darmon : Amonbofis
Édouard Baer : Otis
Dieudonné : Caius Céplus
Marina Foïs : Sucettalanis
Noémie Lenoir : Guimieukis
Jean Benguigui : Malococcis
Isabelle Nanty : Itinéris
Bernard Farcy : Barbe-Rouge
Michel Crémadès : Triple-Patte

Bah dès que tu te conectes toutes les 24H tu gagnes O,1 pts d'affinité eywa. Aussi simple que ça

Je n'ai pas bien compris le systeme avce les points Eywa. A quoi servent-ils?

« Des cris et des hurlements dans tous les sens, des bruits sourds. Et du feu...il me barre la route et vient lécher les murs tout autour de moi. La fumée m'envahit la gorge, je ne peux plus respirer ! J'aperçois une sortie : je m'y faufile et respire enfin l'air libre, je me retourne et distingue un visage dans les flammes, il me sourit « eywa ngahu, ma fille ».La minute d'après, tout s'effondre autour de moi... »

D'aussi loin que je me souvienne, c'est le même cauchemar qui me réveillais chaque matin : il hantait mes nuits depuis toujours et je n'avais jamais pu lui donner une signification...

Chaque jour, j'allais profiter du peu de lumière qui filtrait à travers la lucarne de ma petite cellule, juste au dessus de ma paillasse. Je n'avais aucune notion du temps qui s'écoulait : je voyais passer les cycles mais j'aurais été incapable de vous dire mon âge. Depuis toujours, ma vie suivait son cours dans cet endroit, ponctuée par les rendez-vous avec ces hommes en blouses blanches et par les rares transferts de cellules. J'avais appris à parler en les entendant communiquer entre eux : « ADN »,« Avatar »,« Na'vis » étaient alors des mots inconnus pour moi mais je comprenais qu'ils avaient un rapport avec les expériences que ces petit êtres pratiquaient sur moi. Je me rappelais qu'ils étaient venus tous les jours me piquer, prélever, me brancher à des machines et tous cela sans que je n'en comprenne le but. Mais je sais maintenant que je n'étais pas seule, je sentais la présence d'autres êtres, différents de ces hommes. Un par un, je les voyais passer devant ma cellule, emmenés par les hommes blancs. Ils avaient la peau bleue comme moi...

Plus tard, ce fut mon tour d'être emmenée, l'un d'entre eux est venu me chercher mais nous ne sommes pas parti dans la même direction que les autres : il m'a fait descendre et remonter puis encore descendre des escaliers froids. L'air était humide et plus nous avancions, plus la lumière diminuait. Nous sommes arrivés devant une grande porte grise, l'homme m'a poussé à l'intérieur : « Reste surtout cachée et ne fait pas de bruit. Ça commence à chauffer là-haut. Je reviendrai. » Je ne sais pas combien de temps je suis restée enfermer dans cet endroit. J'ai eu faim. Je pouvais seulement boire l'eau qui s'infiltrait à travers les murs de la cellule. Je n'entendais rien autour de moi, aussi mes cauchemars revinrent sans cesse, de plus en plus précis mais aussi de plus en plus difficile à supporter. Le peu de lumière à laquelle j'avais accès avant me manquait : j'avais l'impression d'être enfermée dans ma propre tête avec ces rêves qui tournoyaient autour de moi...

J'avais perdu tout espoir de revoir l'homme. Puis un jour, des bruits sourds me sortirent de ma torpeur, la grande porte commença à s'ouvrir et un léger filet de lumière traversa la cellule. J'étais dans un état pitoyable, il m'avait laissé trop longtemps. Une voix s'adressa à moi, sa voix : une vague de soulagement m'envahit, je sentis mes dernières forces m'abandonner et mon esprit s'enfoncer dans une brume épaisse.


Je me réveillai en sursaut. La lumière puissante au-dessus de moi m'éblouit et j'eus du mal à ouvrir les yeux. Des douleurs ankylosaient mes membres et je ne pouvais bouger que très doucement : j'aperçus quelque chose planter dans mon bras, relié a un petit sac transparent, les expériences avaient donc recommencé. Je reposai ma tête sur l'oreiller, abattue. J'entendis alors une porte grincer et deux hommes apparurent. L'un des deux était celui qui m'avait enfermé dans cet endroit sombre et humide. Ils débranchèrent le tuyau qui me perçait le bras en baragouinant des choses que mon cerveau encore engourdi ne captait pas. Je les voyais remuer autour de moi en parlant très fort : ils empoignaient mes mains, m'ouvraient la bouche, soulevaient mes pied, mesuraient ma tête... Enfin ils se calmèrent et s'assirent en face de moi : ils me racontèrent alors une histoire, mon histoire...

L'un s'appelait Max, l'autre Norman. Ils venaient tous les deux de la planète Terre, ils étaient des scientifiques envoyés sur cette planète pour participer à un programme appelé Avatar. Ils travaillaient pour le docteur Augustine qui s'occupait de ce programme. Ils me parlèrent aussi de ces créatures qu'ils fabriquaient, ces avatars dont ils avaient besoin pour vivre sur cette planète : des sortes d'hybride entre les hommes blancs et la population autochtone locale. C'était la raison principale de ma présence ici. Je comprenais difficilement mais écoutais avec beaucoup d'attention. Alors que leur chef Grace était arrivé sur la planète et commençais la mise en place de son programme pour prendre contact avec la population indigène, les Na'vis, elle avait découvert dans les sous sols de cet endroit qu'ils appelaient L'enfer, beaucoup d'individus na'vis, enfermés dans des cellules. Ils me racontèrent qu'avant l'arrivée de Grace sur Pandora, les premiers scientifiques n'hésitaient pas à capturer, à torturer et à tuer ces na'vis pour les étudier. Dans ma tête je voyais défiler ces êtres à la peau bleue devant ma petite cellule, ces êtres qui ne revenaient jamais.


Max m'appris que j'étais l'une d'entre eux, que j'étais une Na'vie. J'étais depuis enfant dans le laboratoire. J'avais été trouvé lors d'une expédition armée dans les Grandes Plaines, brulée sur la moitié du corps et remise aux scientifiques qui m'avaient alors sauvé la vie. Ils m'avaient nommé Lucy224. Ils avaient expérimenté sur moi pendant de longues années mais ne s'étaient jamais résolus à me tuer. Les meurtres et les captures s'étaient arrêtés lorsque Grace et son équipe sont arrivées : elle avait trouvé un autre moyen de dupliquer le matériel génétique des Na'vis pour « fabriquer » les avatars. J'étais alors la seule Na'vie restante de la zone Omega (J'appris plus tard qu'il existait d'autre zones où des Na'vis et des avatars avaient subi les mêmes traitements que moi). Je n'avais jamais rien connu d'autre que les cellules de l'Enfer et ses hommes en blouses blanches, l'équipe avait donc juger trop dangereux pour moi d'être relâchée à cause de l'hostilité de ma planète à laquelle je n'avais jamais été confrontée. Grace et son équipe s'étaient donc occupées de moi en espérant pouvoir, un jour prochain, me rendre ma liberté.



Ils m'expliquèrent ensuite que les humains avaient découvert cette planète il y a plusieurs années et qu'ils étaient venu s'y installer pour l'exploiter. Grace et ses avatars devaient les aider à mettre en confiance les peuples locaux pour mieux profiter des ressources de Pandora, mais devant l'ampleur des dégâts, de l'exploitation et de la destruction de la planète, ils se sont rebellés avec l'aide d'un pilote d'avatar et d'une tribu na'vi, les Omaticayas. Grace est morte pour ce combat. Le terme de cette guerre vit les humains quitter Pandora et marqua la fin du grand chagrin pour les Na'vis.

Max m'avait caché dans les sous-sols la veille du grand combat entre les Na'vis et les guerriers humains puis, lui et Norman étaient revenus me chercher alors que les derniers vaisseaux humains quittaient Pandora...





Ils m'ont ensuite emmener à l'extérieur des bâtiments de l'Enfer et j'ai pu enfin ouvrir les yeux sur le véritable monde qui m'entourait, mon monde, celui qui m'avait vu naitre dans des conditions qui restaient encore mystérieuse pour moi. J'ai senti pour la première fois le vent sur ma peau et j'ai entendu les bruits du ciel. L'astre rayonnant qui flottait sur le ciel bleu chauffait agréablement mon corps. J'ai mangé des choses pleines de goûts et de couleurs encore inconnus pour moi : c'était à la fois merveilleux et effrayant .J'étais en train de découvrir mille et unes choses dont j'aurais du profiter depuis longtemps.

Au sein de l'Enfer et durant les premières semaines, Max et Norman, avec l'aide d'avatars et de quelques Na'vis, m'ont fait découvrir et apprendre la langue mais aussi la culture Na'vie, ma vraie nature, celle dont j'avais été privée. Mon apprentissage fut toutefois assez naturel comme si je savais au fond de moi que c'étais ça dont j'avais besoin. Mais au fur et à mesure, je sentais qu'il me manquait quelques chose, en effet, l'appel de la forêt aux alentours se faisait de plus en plus pressant. J'avais hâte de la découvrir et de vaincre ses dangers dont on m'avait tant parlé.



Lorsque Max et Norman jugèrent que j'étais prête à poursuivre mon apprentissage, l'olo'eyktan JakeSully du clan des Omaticayas m'accueillit au sein de sa tribu pour parfaire mon enseignement et vivre comme une Na'vie native que j'étais. Je vécu quelques temps auprès d'eux, Fir'âl et Mostey'ut, les enfants de Bariyu, s'occupaient de mon éducation : j'appris les rites et les traditions, le culte d'Eywa, j'appris la chasse et le fonctionnement de Tsahaylu,j'appris le tir...








J'appris à monter les pa'lis et à reconnaître les bonnes et les mauvaises plantes que nous offraient notre terre-mère, j'appris à ressentir cette conscience collective et à vivre en harmonie avec la nature qui m'entourait. Chaque sentiment ou émotion nouvelle était un bouleversement pour moi et je devais forger mon caractère pour les affronter. Ce fut long et difficile. Je devais aussi sculpter et entrainer mon corps qui allait s'adapter à cette nouvelle vie s'offrant à moi. Un jour, ce fut mon tour de passer l'Iknimaya pour devenir une taronyu. Fir'âl nous emmena au plus haut des montagnes flottantes, là où se cachent les Ikrans.








Je reconnus le mien aussitôt, notre combat fut rude et le premier vol, chaotique. Mais Linwa et moi sommes maintenant liées pour la vie. Ce fut un moment très intense pour moi, jamais je n'avais ressenti cette proximité avec un autre être vivant.

Linwa

Mais des questions subsistaient en moi, en effet au fur et à mesure que je comprenais le monde qui m'entourait, une détresse profonde grandissait en moi et mes cauchemars étaient de plus en plus présents. Qui étais-je ? D'où est ce que je venais ? Je n'avais pas de famille, pas de souvenirs d'en avoir eu une un jour. Ne me restais que ce cauchemar...Je fis dès lors le choix de quitter les Omaticayas et de tenter de découvrir une trace de mon passé. Je l'annonçai au repas du soir et parti rassembler mes armes et quelques affaires pour le lendemain. L'olo'eyktan vint me voir et m'exprima sa compréhension et le soutien de tous le clan.





Je montai ensuite sur les hautes branches du Kelutral pour réfléchir à ma décision. Après de longues minutes, un chasseur de la tribu, Asleyo'ung, vint s'asseoir à côté de moi et me conta l'histoire des Pal'maktoya, un des clans dresseurs de Pa'lis des Grandes Plaines. Il avait appartenu à ce clan et y était né ; mais il y a 18 ans de cela, alors que les premiers humains atterrissaient sur Pandora, une lutte s'était déclenchée entre la tribu et des humains. Beaucoup de ces derniers y trouvèrent la mort et pour se venger, des soldats revinrent à la nuit tombée et surprirent les Pal'maktoya. Ils ont brûlé le camp alors que ses habitants dormaient, ne leur laissant aucune chance. Asleyo'ung et son frère, étaient parti en exploration la veille et lorsqu'ils arrivèrent au camp, peu après l'incendie, tout était parti en fumée : ils ne trouvèrent aucun survivant. Ils avaient tout perdu et ne pensaient qu'à poursuivre les soldats responsables du massacre. Ils suivirent la piste qui les mena à de grands bâtiments et aperçurent le groupe de soldat qui rentrait. Asleyo me raconta qu'à se moment là, il avait cru voir une jeune Na'vie dans les bras d'un des soldats. Ils avaient ensuite tenté de pénétré dans l'enceinte des bâtiments, en vain. Ils avaient alors erré, lui et son frère, pendant plusieurs années avant de tomber sur les Omaticayas. Il me dit ensuite que lorsqu'il avait vu mes cicatrices sur les jambes et le bras gauche et qu'il m'avait entendu raconter mon cauchemar à la Tsahik, les images de l'incendie de son camp et de la petite na'vie dans les bras du soldat lui étaient revenu à l'esprit.

J'attendis, abasourdie, que Asleyo'ung termine son histoire. Mon cauchemar me revenait en tête, clair comme il ne l'avait jamais été ! Ce visage souriant dans les flammes, ma mère, « Payât » me dit Asleyo. Puis soudain comme une immense vague de chaleur, des souvenirs ressurgirent dans mon esprit : un repas autour du feu avec d'autres enfants Na'vis, la cueillette de gros fruits violacés sur un Pa'li avec ma mère, mon père revenant de la chasse, fier, avec un Yérik, un bain partagé avec un petit na'vi, mon frère... Je secouais la tête en silence alors que de grosses larmes coulaient le long de ma joue. Asleyo me prit dans ses bras et je pleurai durant de longues heures. Je fini par m'endormir juste avant l'aube.


Lorsque je m'éveillai, je ne m'étonnai pas de ne pas avoir été réveillé par mon cauchemar. Je connaissais maintenant mes origines, j'allais pouvoir construire ma vie sans plus ruminer sur le passé. Ma décision était prise, je partirais pour aller redémarrer ma vie ailleurs. J'allai chercher mes affaires, appela Linwa et dans un souffle, pris la direction du nord. Je me retournai juste le temps d'apercevoir le Kelutral et Asleyo qui me faisait des signes du bras !

Aujourd'hui, j'appartiens au clan Com'Ava, je l'ai découvert sur ma route, il y a quelques semaines. Ce clan est unique : chacun provient d'horizons différents, certain sont Na'vis et d'autre pilotes d'avatars, mais tout le monde essaie de vivre dans l'harmonie et malgré ce qui nous opposent, chacun à sa place. J'ai choisi mon nom, Maâ-Luz, et je fais maintenant parti à part-entière des Membres du clan Com'Ava. En effet, j'ai pu découvrir mon esprit-totem, le pa'li, grâce à ma deuxième naissance au sein de cette tribu.


Ma deuxième naissance



Neywe m'a guidé dans cette épreuve et reste présent à chaque instant pour me faire partager ses connaissances. J'apprends chaque jour et je reste à l'écoute. J'ai été nommer Veilleur et ce que m'as appris Neywe me permet de prendre soins des membres de mon clan.

Cette tribu est une bénédiction et je compte l'honorer chaque jour qu'Eywa fait... Je tente d'y prouver ma valeur chaque jour aux yeux de tous mes frères et soeurs.

J'ai aussi rencontré celui qui partage ma vie...
Mon Amour, mon âme sœur, celui dont je ne peut me passer et dont le feu brûle au fond de moi et réchauffe mon âme et mon cœur!
Celui que j'ai toujours cherché et dont je ne veut être séparée.
Aketuan...

Tu est mon ami,mon guide, ma lumière, mon gardien...et tu m'as offert le plus beau des cadeaux...Drewan...

Merci à N'Eloa et Aketuan pour leur aide...

Dernière modification le 29 Oct. 11 à 13h13 par Maâ-Luz

Pourquoi Jésus est triste ?

Spoiler : Parce que Jésus crie et le marchand de glasse passe.

Qu'est-ce qu'un sac qui vaut chère ?

Spoiler : Un Phacochère.

Si le fils de ma mère n'est pas mon frère, qui est-ce ?

Spoiler : Moi --'

Un père et un fils sont dans une voiture, Ils on un accident. le père meurt et l'enfant survit mais a besoin d'une opération.
Un chirurgien arrive au bloc et dit: Oh non je ne peux pas l'opérer c'est mon fils!
Comment cela se fait-il alors que le père est mort ?

Spoiler : Parce qu'on ne dit pas une chirurgienne mais un chirurgien, même au féminin. Il s'agit donc de la mère de l'enfant.

646 membres!!! A quand les 700 ? Trois semaines ?

Bronzette toute l'après midi =D!
Piscine à 27°, le rêve. Bon un peu de mistral mais bon, on va se plaindre, il y en a qui se les pelle :p!!!

Je suis tout bronzé *O*

Admin en Licence 2 de STAPS. Vraiment heureux sachant que...c'est un pur hold-up !! (plusieurs cours ou je ne suis pas allé un cours non-obligatoire mais fortement conseillés, les Cours Magistraux quoi :)) Bon j'avais les cours sur ordi mais jme suis débrouillé comme un grand au final.

Super heureux, la première année est derrière moi maintenant :D

Je voudrais une photo de... mmm ...
Une boule à neige (vous savez les boules qu'on bouge pour que les flocons à l'intérieur bougent) avec un truc en lien avec avatar dedans.
Bonne chance à celui ou celle qui me trouve ça =)

et voila!

ho qu'il sont mignons!





































moi je voudrais une belle image du vaisseau d'attaque: normandy SR2