Communauté Avatar de James Cameron, avec Forum Avatar pour Fan

J'étais déçu, car avec un ikran, j'aurais l'impression de trahir Vrrtep, mon seul vrai ami ici. Le seul fait de monter un autre animal me fait penser à lui. Faudra s'y faire, Vrrtep ne peux s'approcher des villages au risque de se faire chasser ou tuer. Je voullais absolument préserver sa vie, il en avait encore long à vivre.

Hufweri monta sur son ikran et s'envolla dans le ciel. Cela me rapellais quand je vollais avec Vrrtep. Je fermnais les yeux, me rapellant la sensation de libertée que j'avais avec mon ami.

Lorsce qu'il redescendi, je reculais et baissais la tête, ayant bien aprise ma leçon avec les ikrans domestiqués.

J'ai repris par après mon entrainement à l'arc. C'était pas la perfection, mais j'y était presque. C'était quand même mieux qu'au début : j'avais presque embroché un pa'li.

Je n'avais pas eu le temps de dire "non !" que Hi'ia Ontu l'avait déjà mordue. Je lançai un regard noir à mon ikran, qui sembla baisser la tête. Je prévint un peu tard que Julho ne le regardât pas dans les yeux. Je soupirai.

- Voilà, ta première rencontre avec un ikran !

Elle avait l'air intéressée par le ikran, mais il y avait quand même une touche de méfiance dans son regard.

- On peut monter dessus ? me demanda-t-elle, comme un chaval, euh... un pa'li ?

- Oui, mais chaque personne a le sien pour la vie, un seul.

- Trop cool, on les trouve où ?

- Je dirai plutôt quand... Et la réponse est : quand tu seras prête. Car c'est la première cérémonie qu'il faut faire pour devenir taronyu.

Je vis qu'elle était un peu déçue... Elle n'était pas encore prête, il lui fallait encore un peu d'entraînement.

Bon, je ne m'y attendais pas vraiment. J'était trop concentrée à améliorer mon tir. En plus lui il trouvait ça hylarant. Bien que je fini par rire également. Ça m'a détendu un peu, c'était le seul côté positif.

Soudain, un ombre passa au dessus de nous et je vis atterir un ikran. Il était jaune-orangé avec certains reflets violets. Je n'en avais jamais vu de cette couleure : seulement des verts ou des bleus. Il devais être domestiqué, car il avait une selle sur son dos, comme un cheval. Il semblais me toiser, comme si j'étais un yeric blessé qui voullais être manger. D'habitude je suis à l'aise avec les animaux de pandora mais là... cet ikran ne semblait vraiment, mais vraiment pas m'apprécier.

Curieuse comme je le suis, j'ai approché ma main dans le but de le caresser mais il fit un brusque mouvement de tête pour me mordre. Il réussi partiellement son coup : J'ai vite retirer ma main et j'avait le dos de la main avec une coupure superficielle. Je soucoua la main et ne m'occupa plus de la blessure.

- Pourquoi ne viens-tu pas dormir dans un hamac, c'est pas plus confortable ?

Elle m'expliquea qu'elle avait l'habitude de dormir à la belle étoile. Alors, sans insisté, je retournai au kelutral pour passer une bonne nuit.

Le landemain, il faisait chaud. De ce fait, j'allai me baigner dans la rivière. J'adorais être dans l'eau. C'est fou comme c'est revigorant ! Et depuis quelque temps, je travaillais mon apnée.
Une fois remonté à la surface, j'entendis que quelqu'un s'entraînait à l'arc. Je devinai qui c'était.

Je me glissai discrètement derrière, et peu après... BOO !! Un petit cri. Elle se retourna furtivement avec son arc, mais j'étais déjà par terre en train de rire avec des gloussements particulièrement rapide et aigus, mais étranges.

Elle se mit à rire elle aussi.

Voici quelques photos de la Bourgogne lors de mes vacances.

Voilà en voyant sans arrêt les luxuriante forêt de Pandora, je me suis dit qu'il était temps aussi de mettre aussi en images la forêt qui dort près de chez vous. Bien sûr la réelle forêt est loin d'égaler la fantastique mer verte de Pandora, mais si vous accrochez bien votre regard sur les choses, et que vous vous baladez souvent dans ces recoins de la nature vous verrez à qu'elle point elles sont magnifiques ^^.

Bon puisque j'ai lancé le sujet je poste quelques photo de la forêt marécageuse sacylienne et de la forêt angicourtoise-cinquoise (dans l'oise) :







En bonus deux de Guadeloupe retrouvé dans mon appareil photo :

Et vous à quoi ressemble votre forêt?

Kaltxì ayngaru !

Comme un bon gros skxawng que je suis, j'ai uploadé les cartes que nous avions diffusé lors de la rencontre à SanFransìsko....
-> les images suivantes étaient mêlées à une centaine d'images du film, le tout en aléatoire...


les voici....

00 youth


01 wou02


02 wou01


03 we see you


04 tsutey-marco from Germany


05 travel


08 to pawl


09 tirea ikran


10 talis


11 ikran tìkawg


12 plumps


13 stefan


14 shirts


15 roperti-aysyal


16 raster


17 random collage


18 prrton si yotswa


19 payoang


20 paya-tirol


21 Judy


22 nyx


23 sitriunilite


24 mihilpuvomun


25 meganen


26 maria


27 luke maybourne


28 kxayl


29 karyu wrzburg


30 karyu wiesel


31 karyu freiburg


32 chris


33 lawren


34 Xelloss


35 kaleta


36 kalakuival


36 Judyevan


37 judyevan


38 joerg and paul


39 jenny


40 jason txonrolyu


41 akesully-Germany


42 hufwemeuia 3


43 hufwemeuia 2


44 hufwemeuia 1


45 hope


46 passi


47 franz ftu Helvetika


48 fpi karyu Pawl ta Ian


49 eylan kenya.


50 eykxas rel 03


51 eykxas rel 02


52 eykxas rel 01


53 eveng te atan


54 Jake Sully


55 czech rda attack


56 skyinou & xelloss


57 carbonundrum


58 avatarizations3


59 avatarizations2


60 Annie yayo viggh


61 alton


62 agent


63 youth 2


64


65 Atan 1


66 Atan 2


67 Kaltxì




Et voila ;)



Eywa ayngahu !

Metroide Prime

C'est une super idée ! Je propose "Pure Spirits of machin".

J'avais beaucoup de difficulté à digérer le flashque j'avais eu. Je ne parlait pas, de peur de montrer ma soufrance dans mon ton de voi.

Peu après, je lui dit que j'allait rester un peu dehors. Je partis dans la prairei de la nuit dernière. Je començais à faire ce que je faisais quand j'avais un petit problème avec mes émotions : Je chantais ( Plus précisément cette chanson là : http://www.y(...)kEmwdiisw0M )

Cela réflettait exactement ce qui se passais sur terre. Je fermais les yeux. Une larme coula sur ma joue. Je savais que quelqu'un me regardais et m'entendais. Je ne m'en souciait guêre.

Quand j'eu fini, je me retourna vers Hufweri. Son regard semblait désoler. Je fermais les yeux en prenant une grande respiration. Je lui souriais.

Elle sortit de l'eau, moi je restai. Je savais que derrière le cascade... Il y avait mon ... "perchoir" ? Je descendis, franchis le courant de la cascade et remontai juste derrière. L'air était humide. Et je trouvai la bruit agréable. En plus, c'était une bonne cachette. Mais je ne pouvais pas rester. Je rejoignis l'autre côté, et sortis de l'eau.

- Tu veux réessayer ? lui demandai-je.

Elle me lança un regard du genre "va te faire fo*tre". Je savais qu'elle allait se détendre, et elle voudrait sûrement réessayer... Chaque chose en son temps.

Quoique... Nous rentrâmes. Elle était silencieuse... Je savais que lui parler ne ferait qu'aggraver les choses, alors je me tus, jusqu'au soir.

Je regardais en bas : Oui, il était bel et bien fou. Je réfléchi à la question jusquà ce que je lui dise :«On y va ensemble !»

Je pris sa main en lui lançant un regard de défi. Il me le rendi. Ce fut pour moi le signal de départ : Nous sautâmes dans le vide puis se fut la chûte. Pendant ce cours instant, j'ai eu un flach : Mon père tombant dans le vide, les deux Huns acrocher à lui, n'ayant rien pour frêner sa chute. Une miliseconde de dernier regard entre nous deux, un regard de tristesse. Puis la chute se termina brutalement, il mourru sur le coup.

Je revenait à la réalité à 5 mêtres de l'eau. J'ai atteri un beu brûtalement dans l'eau. Il me fallu quelques secondes avant que je me décide de remonter à la surface. J'enlevais une mêche mouillée de dans mes yeux quand je vus remonter Hufweri. Je ris à plein poumon en lui disant :« Oui, tu es vraiment fou. Je ne crois pas que j'ai sauté de là !»

Il semblais trouver ça drôle. Je lui fit un peu regreter : Je l'attrapa et l'entraina dans l'eau. Je le relacha et je remonta avec lui. Je riais de bon coeur.

Elle aJe lui demandai de le porter, eh oui, il fallait bien le faire...
Nous rentrâmes puis je préparai la viande pour que nous mangions.

Je ne savais plus ce que je devais lui apprendre... Peut-être avait-elle tout appris ? À quelque peu près.

Je ris en pensant à une chose que je n'avais plus faite depuis un petit moment. Je lui demandai de me suivre je courus. Nous montions une pente. Mon coeur battait la chamade à l'idée de ce que nous allions faire. Je ne pouvais m'empêcher de rire. Elle semblait étonnée, et soucieuse, mais elle souriait. En haut, il y avait plus de vent. On entendait le doux bruit de la cascade. La cascade, quel bel endroit. mon coeur battait encore plus vite, on était tout près !
Je la tirai par le bras dans l'eau. Le courant était relativement fort.
En voyant le chute d'eau depuis le haut, elle me fis de grands yeux, et je lui répondis avec un grand sourire.
J'éclatai de rire.

- T'es pas serieux, là ? me demanda-t-elle avec empressement, tu veux sauter de là ?

J'acquiesçai. Je la rassurai en lui disant que l'eau étai essez profonde en bas. J'étais tellement excité ! Elle devait me prendre pour un fou.

- T'y vas en premier, ou j'y vais avant ??

J'avais essayé de me calmé en lui demandant cela.

J'avançais tranquilement, mon arc en bandoullère et les oreilles à l'afut du moindre bruit que l'on pouvait entendre. Hufweri me suivait non loin de moi.

Puis, je vis une trace. je n'eu pas de difficulté à l'identifier : C'était celle d'un yerik. Elle pointait dans la direction Est, sûrement la direction qu'avait prise l'animal. Je pris cette direction puis je vis enfin ma prois, brouttant, sans savoir que l'on l'observait.

Le terrain ne me permettais pas de bien tirer une flèche, puis une idée me vein : Je me dirigeat vers un gros arbre à plat ventre. Puis je grimpa dessus. Je m'installa sur une branche ni trop haute, ni trop basse, camouflée par juste assez de végétation et dans la direction de l'animal. Je sortis une flèche de son arcois et l'instala sur mon arc. Je me concentra bien sur ma cible, rentrant le ventre et soulevant mon coude comme me l'avait montré Hufweri. Une dernière minute d'ésitation puis je tira. La flèche veint se loger directement dans son abdomen.

Je me dirigea vers l'animal agonisant. Je sortit le couteau que j'avais récement reçu puis récita la, où ce que je croyais, être la prière avant de l'achever. Je rangea mon couteau avant d'enlever la flèche de l'animal. Je regarda Hifweri et je vis dans ces yeux ce qui me semblait de la fiertée, ou je ne savais pas trop quoi.

"Dans le monde tel que je le vois, on chassera des élans dans les forêts humides et rocailleuses qui entoureront les ruines du Rockfeller Center."

"On est des sous-produits d'un mode de vie devenu une obsession."

"Cette histoire de développement durable, c'est de la connerie, on est déjà foutu ; c'est comme si on exigeait à un cancéreux en phase terminale d'arrêter de fumer sur son lit de mort."

" - Ce sang, c'est le votre ?
- Enfin, une partie, ouais."

"J'avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c'était ça la liberté."

"Les choses qu'on possède finissent par nous posséder."

"Il ne suffit pas de se mettre une plume dans le cul pour ressembler a un coq."

"C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut."

- Euh... Ben, en résumé, je... Je suis né il y a treize ans dans un village vers la mer... Il y a quelques années, je ne saurais dire combien, notre peuple a été attaqué par les humains, et ma famille a disparue. Apparemment, mon père est mort, mais je n'en ai aucune preuve, disons plutôt qu'il a disparu. Quelques anées, ou moi, au niveau du temps je suis paumé, j'ai trouvé refuge à Com'ava, et depuis ba je suis là...

Je ne pouvais pas tout lui dire, c'était une humaine dans le fond. Devais-je lui faire confiance ? Rien ne me disais non, mais rien ne me disais oui. J'étais certes convaincu que chaque humain n'était pas cruel et assoifé de pouvoir, mais je devais quand même être prudent. Comme je l'avais si bien appris, il ne faut pas se fier aux apparences, tout est dans le regard...
J'avais la gorge nouée. Je n'avais plus envie ni la force de parler.

La ballade se termina dans le silence, car la nuit était rapidement tombée.

Le landemain, j'ai initié Julho à la chasse. Je lui ai récité les prières qu'il nous fallait faire, mais je doute qu'elle ne les eût appris en si peu de temps. Elle avait déjà tout compris pour chasser, cependant. Elle était discrète et rapide, et elle avait chassé un yerik sans difficulté.

Avatar >>> Pandora

J'était un peu frustrée mais j'ai finalement trouver ça drôle. Curieuse, je pris une grande respiration et le suivitsous l'eau. J'était stupéfaite par toutces petits animaux qui pouvaient habiter ici. Je trouvais amusant de les voir me frôler au passage. Je souriait à Hufweri, contente de l'avoir comme un ami. Décidément, on peu vraiment bien surnomer Pandora : "paradi". Je regardais les poissons dans les coins noirs, là où la la bioluminessance ce faisais plus voyante. Si pandora est si belle, je vais y rester toute ma vie.

Mes poumons commençant à brûler, il fallu que je remonte à la surface. Jepris un grande boufée d'air une fois la tête hors de l'eau. Peu après, je vis Hufweri remonter. Je resta à la surface un peu avant de retourner sous l'eau.

Plusieurs heures plus tard, vers le milieu de l'après midi, nous étions retourné au village. Nous étions par après partis en promenade sur des équidius, ou des pa'li comme ils disent.

«Parle-moi un peu de toi, tu connais beaucoup sur moi, donc à mon tour d'en savoir.»

- C'est... C'est mon père, quand j'étais jeune... Il m'a appris plein de techniques et tout.

Le silence s'abbatit. Sans rien dire je me levai et allai me baigner. Dans l'eau, tout était calme, et c'est ce que j'aimais. J'allai le plus profond possible, et je m'amusai à regarder les poissons.
Je regardai vers le haut, et je vis Julho. J'ai l'esprit tordu vous savez ? C'est pourquoi je la pris par la cheville et la traîna au fond, où il faisait plus sombre. Ne sachant pas combien de temps un Avatar pouvait rester sous l'eau, je la lachai. Elle me regarda et remonta à la surface.
Après avoir ri et vidé mon air, je remontai aussi.

- T'es malade, tu m'as fais peur !s'exclame-t-elle.

Je ne répondis pas, ne sachant si je devais rire à nouveau, ou ...

- Excuse-moi, lui dis-je.

Je retournai sous l'eau, suivant les poissons.

Je le regardait avec un grand sourire au lèvres. C'était bien la première fois que je tombait sur un adversaire à ma taille. Mon père m'apprennais sans cesse de nouvelles techniques de combat, me disant que si notre ennemi s'avérait hostile, qu'il fallait bien savoir se battre.

Le combat repris. J'utilisais ce que mon père m'a longtemps enseigner : utiliser la force de l'adversaire contre lui. Aussi un bon truc, toujours rester en mouvement. Facile tant que tu savais comment faire. Le seul fait d'esquiver peu être difficile. Puis, après avoir enduré ou enquèsé des dizaines de coups, J'esquivait un dernier coup avant de lui envoyer un coup dans l'abdomen. Il alla choir dans la rivière un peu plus loin. J'éclata de rire. Jamais je n'avais eu autant de plaisir.

Puis je sauta dans l'eau et la bataille continua. Il essayait de m'attraper, Mais je plongea. Il me perdit de vue puis j'émergea derrière lui, l'attrapant par derrière. Il eu l'air surprit. Nous contunions comme cela pendant encore quelques minutes avant d'aller sur la rive. Nous tombons sur le dos en éclatant de rire.
« Je ne me suis jamais autant amuser en me battant. Tu es vraiment doué. Qui t'as montrer comment si bien te battre ?»