Communauté Avatar de James Cameron, avec Forum Avatar pour Fan

Tellement bien d'être seul un moment ! Après être resté un petit moment seul dans les arbres, j'étais retourné dans le rivière. N'était-ce pas calmant, l'eau ? Encore mieux, c'était d'être complètement sous l'eau. Il n'y avait quasiment aucun bruit, si ce n'est la cascade. Les poissons m'avaient regardé d'un air confiant.

Là, maintenant, je regardais les étoiles au bord de l'eau. Polyphème me donnait l'impression qu'il me regardait avec un unique oeil plein de malice.

Je ne m'en étais pas rendu compte, mais je m'étais endormi.

Le lendemain, nuageux, je me réveillai au même endroit ; un peu normal. la cascade crépitait toujours. Malgré le nuages, il faisait chaud. la faune forestière brisait continuellement le silence.
Même si tout ça clamait, j'étais toujours sur mes gardes. "On n'est jamais trop prudent".

Je me relevai, et, en quelque sorte, repris mes esprits.
Julho marchait de l'autre côté de la rive. Elle n'avait pas l'air en forme, ele paraissait triste. Moi, quand j'étais triste (ça n'arrivait pas souvent, mais ça arrivait), je voulais être seul, alors je la laisserais tranquille.

Quelque info sur la culture

Société & CultureModifier
Les Na'vi sont des créatures humanoïdes qui vivent dans de différents clans territoriaux de Pandora. Bien que leur culture est essentiellement paléolithique, ils ont une organisation sociale égalitaire, inhabituel dans une société à un stade de leur développement. Une prime est mis sur les jeunes hommes et les femmes de plus en plus à devenir des chasseurs d'exception et, éventuellement, des guerriers, qui est nécessaire en raison de la nature de l'environnement de Pandora. Les populations de Na'vi et d'autres espèces peuvent être contrôlées par l'intelligence sensible qu'ils adorent " Eywa ". Ils choisissent de vivre en harmonie et en équilibre avec leur environnement naturel. S'ils deviennent trop nombreux, Eywa peut trouver un moyen de limiter leur nombre avant qu'ils ne provoquent un déséquilibre écologique, car elle maintient l'équilibre de la vie. Au cours des millénaires, les Na'vi ont développé un sain respect et de révérence pour leur environnement. En retour, Eywa peuvent avoir influé sur l'environnement de leur fournir une nourriture suffisante et un abri, des créatures de rouler pour le transport aérien et au sol, et une température ambiante, température agréable tout au long de différents biomes de Pandore. Curieusement, il ne semble pas y avoir de nombreux irritants ou les insectes nuisibles et organismes de la maladie, mais si tel est ou non intentionnels nécessitent des recherches complémentaires. Petit, créatures volantes (insectes?) Sont présentés dans les différentes scènes. Les Na'vi n'ont pas réussi à développer des outils et des armes à des fins au-delà de la guerre primitive possible avec les clans environnants et de la chasse et de survie, résultant peut-être une anomalie de la fertilité de la planète. Pour une course qui est si étroitement liée à toutes les autres créatures, la guerre semble peu probable, mais pas impossible, comme indiqué par de nombreuses références au terme «guerrier». Toutefois, il n'a pas hésité à aller à l'autre de nombreux clans de demander de les aider, si il ya des conflits interclaniques, il est sans doute la rare exception à la règle. Ils font, cependant, ont une tradition riche en artisanat et s'engager dans la décoration du corps signifiant à la fois vaste rang, l'activité, et ses goûts. Avec la mise en garde qu'il est peut-être fallacieux de faire des comparaisons de la culture à travers les systèmes d'étoiles, les Na'vi sont comparables à aujourd'hui disparu-l'âge de bronze de chasseurs-cueilleurs qui ont formé les sociétés pré dans certains pré-coloniale africaine, les autochtones américains, australiens et tribus autochtones avec des traces des similitudes avec la culture scandinave d'Europe du Nord. Dépourvus de toute la tradition de la science officielle comme les gens de la Terre le savent, ils l'expérience Eywa comme un omniscient, tout puissant-entité, et ont peut-être développé une religion animiste complexe fondé sur leurs interactions avec Eywa, et centré autour de la " Tree of Souls " et le " Tree of Voices ", deux des nombreux endroits spirituelle sacrée trouve dans Pandora qui donnent accès à l' réseaux neuronaux Pandora .


le lien neuronal



les Na'vi ont une file d'attente à l'arrière de leur tête qui pend, ou ci-dessous, la taille, tandis que Avatars ont des files d'attente à la base de leur crâne. La file d'attente est un faisceau externe de terminaisons nerveuses qui sont protégés à l'intérieur d'une tresse de cheveux. La file d'attente permet aux Na'vi de puiser dans le collectif, planétaire psioniques émanations de Eywa et leur permet de "communiquez" avec la planète la flore ainsi que la faune.
Même s'il n'est pas en ajoutant de l'intelligence, elle leur permet de partager une connexion profonde et aussi communiquer par télépathie avec l'arbre des âmes et des animaux qui ont un cluster nerveuses similaires. Les Na'vi l'appeler Tsaheylu , ou "le lien." Lorsque deux organismes Pandorien avec les pôles de nerf semblable à s'engager dans cette Tsaheylu, ils acquièrent la capacité de partager des souvenirs et des informations. Les Na'vi ont un caractère spécial qui leur permet d'utiliser l'état d'esprit de se sentir fondre en tant que / ce que leur monture ne et leur permet de se déplacer comme l'un sous le contrôle de la Na'vi, qu'il s'agisse d'une banshee ou direhorse . Ce trait n'est niée pendant l'accouplement

Je me promenais trenquillement sous ma forme de loup, celle au qu'elle je suis le plus habituée. Je regardais autour de moi. Je me dirigeat dans une clarière non loin de là. Je repris ma forme de Na'vi en regardant le ciel. Je regardais un peu la voute céleste en poussant un bruit ressemblant à un rugissement. Je vis soudainement des points lumineux approcher. Je souriais en voyant approcher Vrrtep. Il semblait aussi content que moi puisqu'il colla sa grosse tête contre moi. Malheureusement je savais que ce serais surement nos derniers moments ensemble.

Je lui flattais le torax comme j'en avais l'habitude : cela le calmait un peu. Je fit Tsahaylu avec lui puis m'envolla assez haut pour ne pas que l'on me remarque. J'adorais la sensation de liberté que je ressentais avec lui. Je vis l'océant et décida de vivre mon dernier moment de plaisir là où je l,avais découvert : je m'approchais de l'eau puis Vrrtep volla presque à sa surface. C'était impressionnant le jour, mais la nuit c'était une toute autre histoire. Les poissons semblaient presque faire une chorégraphie pour nous.

Mais comme on le dit souvent : rien ne dure . Je dus réatterir avec mon cher ami dans la clairière de tout à l'heure. Je descendi de sur lui et le regarda dans les yeux :«Vrrtep, il ne seras plus possible de voller ensemble désormais. Je crain pour ta vie...» Les larmes me venaient aux yeux, je n'y pouvait rien. Comme si il cherchait à me consoller, il émit un léger grognement en mettant sa tête contre moi.

Puis, j'entendis un bruit, comme si quelqu'un approchais. Vrrtep le ressenti et se mit en position défencive. Je du lui dire de rester calme car sinon il aurais bien pu attaquer ce qui approchait. Je n'avais pas peur pour moi, mais pour mon meilleur ami.

Je ne répondit pas. À quoi bon ?
On m'avait appris à me méfier, mais il y a toujours des exceptions. Je n'étais quand même pas à l'aise, au fond, j'étais en companie d'une humaine. Or jusque là, il ne m'étais rien arrivé de mal, enfin, de la part d'elle. Sans le vouloir, je laissai echapper un grognement.
Ce mal tellement connu... Il fallait que je restasse seul. Je partis en poussant un grognement suraigu et trop rapide. Je pensais qu'elle avait dû comprendre. Je me dirigeai vers la rivière. Je restai deux minutes sous l'eau, le temps de me "ressourcer" et je remontai à la suface. Puis je partis pour une ballade, jusqu'à ce que la nuit tombât. Je n'avais pas envie de dormir, bien que j'adorasse cela, mais plutôt envie de m'évader dans mes pensées. Je m'assis sur une haute branche, et entrai dans un état semblable au sommeil, mais j'étais encore conscient des actes qui m'entouraient ; par exemple le bruits du vent contre les feuilles... Cependant il n'y avait pas que le vent qui faisait ce bruit-là...
Quelqu'un approchait. Etait-ce Julho ? Pour me déranger... Je me mis debout et m'éloignai en sautant de branches en branches. Je voulais être seul. Ce mot faisait-il défaut aux humains ?
Je ne pouvais pas m'empêcher de grogner bizarrement. J'étais énervé, et têtu, c'est pourquoi je voulais être seul un moment, et je le serais, quoi qu'il en soit ! Mes grognement se transformèrent en tremblements de voix suraigus. Je remuai frénetiquement la queue, prêt à attaquer quiconque m'empêcherait d'être seul.

L'histoire des rois sont écrits sur l'or des temples. Celle des soldats sont écrits sur le sable, que la mer fini tôt ou tard par effacer.

Troy ( le film )

Kaltxì ma Communauté Avatar!
Mengati kameie!

En ce 1er Février, vôtre honorable et honorée Haut-Membre du clan fête ses 23 hivers et vous offre donc une tournée générale pour fêter ça!
Aujourd'hui, c'est open bar et c'est moi qui régale!

;)

Pandora-->Ratisser

Je ne savais pas quoi dire. Le seul fait que des humains commençaient à faire des expériences sur des Na'vi me mettait en état de rage. Les "HUMAINS" !!! Ce mot me mettais les nerf en boulle. Là c'était la belle preuve qu'ils exagéraient : Juste de savoir qu'ils utilisaient les Na'vis comme de simples rats de laboratoire, que certains étaient devenuent noirs... je serrait mes machoires qui laissairent échaper un léger filet de sang à cause de la force que j'y mettais.

Je regardais discrêtement dans la direction d'Hufweri. Ce devais donc être lui qui avait tuer deux avatars avant de s'enfuir ! Si c'était lui, il ne semblait pas si effrayant et sanguinaire comme on me l'avait raconter.

Je baissais les yeux sur mes pattes. La honte m'envahis. Je pris une grande respiration avant de raconter mon histoire :«Sur Terre, j'était une alpha. Ma meute et moi vivions heureux, loin des humains. Puis un bon jour, deux adolescents sont arrivés en courant. J'ai compris plus tard qu'ils avaient tuer un ou plusieurs enfants. Des humains les ont suivits, armée de leurs fusils. Ils ont tirer sur nous. J'ai été sa seule survivante de ce massacre. Plus tard, j'ai pris ma forme humaine pour me mêler à eux, ne pouvant plus vivre dans la forêt. J'ai par la suite entendu parler d'un voyage sur Pandora pour les scientifiques voullant continuer les recherches du Dr Grace Aigustine. Les connaissance que mon père m'a transis m'a permise de venir ici. J'ai fuit la réalitée pour venir m'instaler ici, loin de la folie humaine. Leur monde étant à l'agonie, ils cherche absolument à essayer de sauver leur monde, même si ils savent qu'il est trop tard. Ces bêtes imonde ne parlent qu'en terme de profis... j'ai de la difficulté à les sentir.

la forêt qui entoure ma ville

Je retirai ma main aussitôt que je l'eusse tendue. Je remuai la queue frénétiquement. Que devais-je faire ? Quelque chose me dit que je ne devais pas être là... Alors je me levai, et partit en remuant toujours la queue.
Elle me suivit.

- En fait, tu es une humaine, commençai-je, pourquoi devrais.je te faire confiance ?

- Tu n'as aucune raison de me faire confiance, en effet, mais pourquoi ne me ferais-tu pas confiance ?

Je ris.

- Pourquoi ? Moi et les humains... Enfin tu vois ce que je veux dire...

- Je sais, ils t'ont fait du mal, ainsi qu'à ton peuple, mais moi je ne fait pas partie de ces êtres-là. Mais ça, je n'en ai aucune preuve.

Je regardai ma queue, où des expériance de synthèse avaient abouti. (Cf. mon BG)
J'avais envie de lui répondre que les humains étaient des êtres dépouvus d'émotions, aveugles comme la nuit, des monstres ! Mais je me retins. Elle devait le savoir... Et elle me répondrait qu'elle le savait mais que elle était un exception et patati et patata, ce n'aurait pas été nouveau.

J'étais morte de rire en voyant sa tête. Il ne semblait vraimentpas habitué à ce que je me transphorme. Comme pour le mettre encore plus dans le brouillard je repris de nouveau pa forme animale. Ces yeux étaient ronds comme des billes. J'étouffais un rire di mieux que je le pu. Je tournais autour en le regardant. Mes yeux jaunes-dorés aux pupiles semblables à ceux des lézards le fixaient comme un loup-vipère toisant sa proie. Je donna un coup de machoire dans sa direction, ce qui le fit reculer. Je m'arrêta devant lui en m'asseyant. «Je vois que tu ne conaît pas les loups-garous. Ce sont des gens capables de se transphormer en loup. Il faut de la pratique mais ceux ayant ce don peuvent s'en servir,...Ce que aussi certains abusent.»

Il semblait encore plus confu que tout à l'heure. À bien y réfléchir, j'ai finalement trouver comment lui montrer que je n'étais pas un mirage ou un truc du à de la viande mal-cuite. Je m'approchais de lui puis me réassit à 30 centimètres de lui. Je lui dit sur un ton calme :«Tu peux me caresser, il n'y a pas de mal à avoir.»

Il sembla hésiter un moment puis tendit sa main.

Maintenant venait le moment des acrobaties. Je pris son bras pour me relever. Je la regardai à mon tour avec un regard de défi. Je remuai la queue, et courus contre un arbre, sautai, rebondis contre le troncs et "volai" dans sa direction. Je la pris par les épaules. Nous fîmes une roulade et elle partit un peu plus loin. La bataille reprit, encore plus rapidement qu'avant. Je réalisai que je savais mieux me battre sans arme.
Je tentai de la faire tomber, mais elle para mon coup et je faillis tomber moi, mais je me rattrapai et la repoussai avec mes jambes. Elle pris appui sur un arbre. Le combat aurait pu continuer comme cela des heures durant. Au fond, pourquoi se fatiquer ? Je ne pouvais pas...
Elle me lança un regard qui voulait sûrement dire : "Fait gaffe..."
Elle se transforma dans sa forme de monstre et elle bondit dans ma direction. Je roulai sur le côté, et elle se rattrapa derrière moi. C'était pas juste, la elle gagnerai haut la main ! Mais... Pourquoi abandonner ? Elle essaya de me morde à plusieurs reprises, mais à chaque fois je retirai mon bras avant... Que de la chance ...
Que faire ?
Je ne combattais plus, mais je ne fuyais pas pour autant, j'esquivais le plus possible de ses vives attaques, disons.
Elle reprit sa forme d'Avatar en riant...
Etait-ce ma tête qui la faisait rire ou... ?

Voici le décor féérique d'un bois, en hiver, qui se situe à deux pas de chez moi.

Le fait que je voullais lui lancer ce défis n'avait pas de but précis... enfin si on ne comptait pas le fait que je voullais absoloment écraser quelqu'un. C'était plus amusant avec lui car il était bon combattant, un de mon niveau. On ne se touchait jamai : les rares fois où ça nous arrivait étaient considérées comme un vrai coup de chance.

Vient un moment où j'ai réussi à le désarmer. Lui donnant une petite chance j'ai jeter mon arme dans les brousailles plus loin. Il ne bougea point puis comme un thanator en furie un courru vers moi. Le combat c'est continuer au corps à corps, sur laquel je n'eu pas de mal à l'écraser.

Après quelques minutes, je me suis levée et lui ai tendis la main pour l'aider à se lever.

Alors qu'elle tirait un flèche, je la poussai, même pas très fort. Elle tomba et me lança un regard foudroyant.

- Une posture stable... lui rappelai-je.

Elle acquiesça. Elle réessaya et la flèche alla droit dans le centre de la cible.
J'avais envie de lui dire "Tu vois !" mais je me suis retenu. Elle me sourit faussement, l'air de dire "T'es content ?"
Et... Oui j'étais content.

- Prend un bâton, me lança-t-elle.

Je pris un bout de bois solide et droit, et je vis qu'elle en avait fait de même.

- Ah, c'est un défi ?

Elle esquissa un sourire "maléfique".