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- le 6 Fév. 11 à 15h03 -
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- le 6 Fév. 11 à 11h25 -
Moi, le Nantang, le Riti et l'Ikran ^^
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- le 6 Fév. 11 à 10h11 -
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- le 6 Fév. 11 à 09h58 -
Alors voilà, j'ai retrouvé deux p'tites photos récentes qui traînées sur mon ordi ^^ ...
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- le 6 Fév. 11 à 08h59 -
Si l'on ne disait que des choses utiles, il se ferait un grand silence dans le monde. Alvare Sanchez de Moncades
L'amour n'est pas aveugle, il est aveuglant. Yvan Audouard
La liberté est le droit de faire ce que les lois permettent. Montesquieu
Aprends comme si tu devais vivre pour toujours et vis comme si tu devais mourir ce soir ! Proverbe Tibétain
Et un dernier (Merci Maxime):
Si on boit, on meurt. Si on ne boit pas, on meurt, alors ... buvons !
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- le 6 Fév. 11 à 08h48 -
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- le 5 Fév. 11 à 18h41 -
Cette nuit fu assez mouvemanté : J'ai eu une méchante leçon des colèges avec qui je travaille. J'ai reçu un coup dans l'estomac de celui qui avais l'avatar au couteau. Mon corps original n'étant pas blessé, si lui fit un crochet de droite. Le combat s'étais continué pendant encore quinzes minutes avant que l'on me laisse enfin tranquille.
***
Me lever fu plus difficile que la nuit dernière, la douleure se faisant plus sentir. Malgré la douleure, je me suis levé et je suis partie me promener un peu. Le petit stingbat était venu me voir. J'appréciais bien cette petite bestiolle.
En marchant, l'envie folle de m'entrainer à l'arc me pris. Le tir était plus dur à cause de la douleur qui me tailladais.
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- le 5 Fév. 11 à 17h52 -
- Euh... non merci, je crains les Toruk.
- Mais tu sais, avec Vrrtep tu n'as rien à craindre !
- Ouais, c'est ça, rien à craindre ! C'est juste la bête aérienne la plus dangereuse, et je n'aurais rien à craindre ?!
J'avais sûrement répondu trop sèchement. Nous nous tûmes. Je grognai un coup. Elle me regarda bizarrement. Je fronçai les sourcils. Je savais qu'elle était sur le point de rétorquer.
Je n'aurais peut-être pas dû lui répondre sur ce ton... Je soupirai, et m'en alla. et cette fois elle ne m'empêcha pas de partir. J'allai me baigner, me relaxer, me détendre, et m'entraîner à l'apnée. Les poissons me chatouillaient. Je ne pus m'empêcher de rire.
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- le 5 Fév. 11 à 17h10 -
«Attend ! Un peu de compagnie ne me fera pas de mal. C'est fade ici.»
Et c'était la pure vérité. Vrai que, je n'ai jamais aimé être soignée, par qui que ce sois, ayant aprise de mon père à me débrouiller seul.
Et stopper l'activité physique! Il me cherche vraiment celui-là. C'est important pour moi de bouger, sinon j'ai un profond sentiment de faiblesse.
Je discutais un peu avec Hufweri de tout et de rien. Il était presque comme un ami pour moi. Je voulais lui montrer quelque chose, mais je craignais qu'il me trouve plus que cinglée, bien en fait de compte, c'étais un peu ce que j'étais. Donc je pris le taureau par les cornes :« As-tu déjas monter un Toruk ? Si tu veux bien, Vrrtep et moi pourons te faire faire un tour.
Je me demandais si je ne l'avais pas un peu ébranler, même si je connaissais déjas la réponce.
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- le 5 Fév. 11 à 16h38 -
J'avais regardé le combat dans un arbre, sachant que je ne pouvait m'interposer. Je voyais Julho se tortiller de douleur. Je hochai la tête. Je vis le guérisseur arriver et il pris Julho pour l'emmener dans son endroit où il soignait les blessés. Quelques heures plus tard, le guérisseur sortit, disant à Julho de ne plus faire ce genre de chose et de ne plus faire d'exercice trop physique. Elle était toujours bandée à l'abdomène. Toujours perché sur l'arbre, je regardais ce qu'il se passait dans les environs.
Je m'approchai de Julho, assise.
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La créature que tu as "affrontée" est très dangereuse.
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Je sais ! Le guérisseur me l'a répété de tas de fois !
Je hochai la tête et remuai le queue. Je partis, sentant qu'elle était de mauvaise humeur.
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- le 5 Fév. 11 à 16h18 -
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- le 5 Fév. 11 à 16h17 -
J'avais en moi un profond remors. J'avais la gorge nouée. J'ai fermer les yeux puis je suis partie. J'étais revunue à l'endroit wue les honnes on brûler. J'ai vu que la pousse que j'avais déterrée avais bien grandi. Je souriais puis bien que contre moi, je començais à pleurer. Les images de la dernière journée avec ma meute me remontait à l'esprit. J'avais l'âme morte.
Lorsque la lumière devin orangée, je retourna à l'arbre maison. Il faisait noir quand je suis arrivée. J'étais sur le point de m'endormir quand je vis une forme noire ce diriger vers le camp. Je pris ma forme animale, ne sachant pas à quoi m'attendre.
Je distingua enfin ce qu'était la chose : c'étais un thanator adulte qui semblais de très mauvaise humeur et de l'écume était à sa geule. Je lui cria de s'en aller, mais elle eu plutôt une autre idée : Elle me fonça dessus et je l,ai éviter à la dernière minute.
Elle poussa un rugissement atroce, un signe de bagare. Je fis de même. Je savais que l'on avais réveiller tout le clan car je les entendaient. La bête chargea et moi également. Une colision frontale se fit puis nous nous affrontions sur nos deux pattes arrières. Il semblait avoir l'avantage sur moi vu qu'il avais six pattes alors que moi je n'en avais que quatres. Il ne cessais d,essayer de me mordre, faisant claquer ses machoirer non sans me chacher dessus.
J'aurais du me surveiller car elle me griffa directement sur ma blessure. Je poussa un grand cri de douleur avant de contre attaquer : je lui donna un puissant coup de patte arrière qui lui fit perdre le souffle. Je lui asséna par la suite un coup de griffe dans le visage et il pris la fuite dans la forêt.
J'étais exténuée. Je ne sais pas si c'étais ma toute dernière nuit avec ce clan, vu que je croyais les avoir effrayer pour de bon. La douleure que je ressentais à mon abdomen était des plus insuportable, mais je devais endurer la douleure.
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- le 5 Fév. 11 à 16h06 -
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- le 5 Fév. 11 à 15h56 -
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- le 5 Fév. 11 à 15h45 -
Je clignai des yeux, remuai la queue, tapai du pied, soupirai.
- Tu... caches un...
- Oui, j'aurais dû te le montrer avant...
- Ok, tu es une humaine, qui sait se transphormer en monstre (elle tressaillit en entendant de mot) et tu es Toruk Makto ? Non mais, 'y a un truc qui ne va pas, là. Il y a une incohérance culturelle. N'importe quoi.
Je m'arrêtai de parler, sinon je commencerais à dire des choses compréhensible uniquement de moi.
Je remuai encore plus frénétiquement la queue. Je marmonnai "monstre...". Un déclique se fit dans ma tête, et je courus en direction de la forêt. Immédiatement, je sautai dans un arbre. Je me propulsais de branche en branche. Sans le savoir, je devais devenir fou.
Une sorte de ronronnement aigu sortait de ma gorge, de temps en temps.
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- le 5 Fév. 11 à 15h21 -
Par tous les chemins possible, rien ne changera ce que j'étais, il n'y avais aucun doute là-dessus. Je serrais les machoires pour ne pas l'attauqer, ce qui aurais empirer mes blessures, une erreure que j'avais déjas faite. Je m'éloigna un peu, le temps de retrouver mes esprits.
Je respirais le plus calmement que je pouvais. Je vis par la suite un rocher non loin. Je pris ma forme de loup avant de le frapper avec ma patte arrière : quelques morceaux de la roche se cassairent. Je souflais tel une métabête en furie.
Ayant reprise ma forme originale, je serrais les points pour le pas m'attaquer à un arbre ou à quelque chose de vivant. Mes jointures étaient blanchies par l'effort. Dans ma tête un seul mot résonnais dans mon crane : Monstre.
Je poussa un cri de rage avant de courrir loin du Kenlutral. J'arriva dans une plaine ou il n'a avais pas hâme qui vive. Puis comme si il m'avais entendu, je vis Vrrtep approcher. Il se posa devant moi en grognant. Il me remonta un peu le moral. Je lui flatta le torse comme il aimait. «Je ne peux pas voller avec toi maintenant, cette nuit je te le promet mon ami.»
Il batti un peu des ailes puis frotta sa tête contre moi. Je ressenti une douleur orrible quand il posa sa tête sur mon abdomen, mais je fis comme si de rien n'étais. Peu après, je lui dit de partir, cragnant qu'il ne se fasse repérer par quelqu'un. Il s'en alla, non sans me faire un dernier "calin".
Je me prépara à retourner au Kenlutral quand je vis Hufweri derrière moi. Il semblait avoir le souffle coupé. Je me préparrais des répliques dans ma tête si une décharge de question devais survenir.
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- le 5 Fév. 11 à 15h01 -
L'ignorance, l'inconscience rhyment avec enfance.
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C'est parce qu'ils ignorent qu'au fond tu es un monstre.
Je ris mauvaisement. Elle n'avait sans dout pas aimé, mais c'était la réalité.
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Ah et juste pour ton information, je ne suis pas un guerrier, je ne fais pas la guerre.
Et voilà, j'aurais du me taire. Elle fit descendre les puériles de sont dos, et s'avança vers moi après avoir repris sa forme d'Avatar. Nous nous affrontâmes du regard, j'avais presque l'impression qu'il y avait des eclairs entre nos yeux.
Je fronçai les sourcils pour dire un truc du genre "T'as un problème ?" Ses yeux remplis de haine ne m'attinrent pas. J'attendris ironiquement mon regard, et elle se retourna.
Je pense qu'elle avait abandonné l'idée de me lancer un défi parce qu'elle était blessée. Sinon, elle l'aurait fait, il n'y a pas de doute là-dessus.
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- le 5 Fév. 11 à 14h47 -
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- le 5 Fév. 11 à 14h43 -
Aller me reposer !?! Il rêvait en couleur celui-là. J'étais habituée aux blessures graves, en ayant souvent eu lors de ma "première vie". Je continuais à me promener ça et là dans le Kenlutral.
Je descendi en bas, sentir un peu de sol sous moi. Je savais que je ne devais pas, mais la tentation étais trop forte pour que je puisse m'en empêcher : je me transphorma. Cela propagea un vent de peur parmis les Na'vi au sol, mais ils semblairent s'y habituer vite, plus vite que je ne l'aurais cru.
Certains enfants qui avaient échapés au regard de leurs parents sont venu me voir. Il semblaient facinés par mon étrange apparence. Ils me flattaient comme si j'étais un gros chien, bien que c'étais légèrement le cas. Certains parents sont venu chercher leur progéniture mais la plupart m'on fait confiance. De temps à autre, je faisais de légères promenades avec une coupe de petit sur mon dos.
Je vis plus loin Hufweri qui approchait. Je lui lança sur un ton de défis :« Hey Huf'! Ces enfants sont plus braves que toi ! Ils sont capable de me caresser un un grand guerrier comme toi n'en est pas caplable !»
J'éclata de rire.
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- le 5 Fév. 11 à 13h30 -
Je croisai Julho, bandée à l'abdomen et à la cuisse.
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ça va mieux ? m'enquis-je.
Elle acquiesça lentement, la'ir encore un peu sonnée. Je lui priai de s'asseoir.
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Où sommes-nous ? demanda-t-elle d'une voix fatiguée.
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Au Kelutral, lui répondis-je, à la maison.
Elle me regarda avec un regard étrange, elle avait l'air complètement shootée.
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Les gens ne te connaissent pas, ici, continuai-je, Il faudrait que tu te présentes.
Ses yeux s'aggrandirent. Je pensai qu'elle ne se présenterait pas tout de suite, en fin de compte.
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Bon, va te reposer, tu es blessée, ce serait bien, tes blessures sont fraîches.
Je ne sais pas ce qu'elle aurait voulu répliquer, mais je partis avant qu'elle ne le put.
Dernière modification le 5 Fév. 11 à 14h22 par
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Très juste !
Mais il m'a l'air désert ... Serait-il rongé par une maladie fatale aux membres du clan ? C'est dommage que je ne sois pas arrivé quelques années avant :-/
Kìyeváme !
*rire démoniaque